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Un test psychométrique performant pour « mettre la bonne personne à la bonne place ». Oui, c’est possible !

Comme beaucoup de cadres, j’ai aussi managé des équipes dans des environnements différents, où j’ai également observé qu’à toutes les échelles de la hiérarchie dans les entreprises et organisations dans lesquelles j’ai travaillé, le « système » demande à des collaborateurs de devenir ce qu’ils ne sont pas, et ne seront jamais, moi y compris !

Convaincue que nous avons tous notre « bonne place » dans la société, je propose depuis septembre 2018 des prestations d’accompagnement à l’efficience humaine, grâce aux outils de PerformanSe (leader sur le marché français), déjà connu et utilisé en Suisse romande, qui est un outil d’aide à la décision pour les directions et les RH dans le soutien à l’efficience humaine des entreprises. Cette efficience est basée sur un grand respect des personnalités et des compétences, pour honorer la maxime «  la bonne personne à la bonne place ».

Ce test de comportement au travail est composé de 10 items et permet de mesurer le type d’environnement dans lequel une personne va se sentir bien, et du coup, performer. A contrario, il permet aussi de comprendre, en collaboration avec la personne concernée, quels sont les milieux professionnels qui lui sont difficiles et pourquoi.

C’est donc un outil indispensable à toutes décisions de mobilité interne, souvent source de déception, de part et d’autre.

Nous avons tous notre place dans la société

Faut-il encore la trouver… et la mobilité interne est parfois un terrible piège !
J’observe depuis des années au sein des entreprises et organisations que la majorité d’entre elles souffrent de situations similaires !
Des collaborateurs dans toute l’échelle de la hiérarchie sont nommés/promus « cadre dirigeant » du fait de l’ancienneté, du fait de compétences techniques (même reconnues), par défaut (parce qu’il n’y a personne d’autres), ou encore par amitié.
Propulsés managers sans en avoir ni les bases, ni le profil, (et parfois, même pas la motivation !) ces décisions mettent en péril toute l’organisation de l’entreprise ou de l’institution. Mais surtout, elles mettent en péril la santé même de la personne, contraint de devenir ce qu’elle n’est pas… et ne sera probablement jamais !
Pourquoi les entreprises ne s’enquièrent-elles pas de la règle fondamentale « les bonnes personnes à la bonne place », pour que l’organisation soit efficiente ?
Parce qu’il est difficile de trouver la bonne personne ? parce que les décideurs choisissent -logiquement- l’équilibre entre savoir-faire et savoir-être ? Parce que la question du profil, bien que cruciale, n’est pas suffisamment estimée au moment de la décision ?
Il existe pourtant des outils d’aide à la décision et à l’organisation, respectueux de chaque profil, développé pour l’efficience des organisations et de leurs collaborateurs.
Depuis l’été 2018, j’ai la chance et le plaisir de mettre cet outil à disposition des organisations romandes.
C’est une avancée réelle pour notre bien-être à tous, au travail.
Contactez-moi sans hésiter.
Claudie Leconte

Formation « Affiner son Business Plan »

Pour mieux répondre à vos besoins, je propose désormais un accompagnement individuel basé sur mon cours « Affiner son business model et réussir le développement de son entreprise ».

Le canevas du New Business Model et l’esprit du Lean Startup sont les bases de ces ateliers.

Au plaisir de démarrer ce projet avec vous !

 

 

 

Pas d’émotion dans le travail !

« Ici, vous êtes dans un contexte professionnel Madame, ça n’est donc pas le lieu pour exprimer vos émotions ! »

Voilà ce que j’ai entendu il y a tout juste quelques jours !

A l’heure ou les psychologues, y compris ceux du travail, ne parlent même plus de l’Intelligence Emotionnelle (IE), tellement cette évidence (des années 90) est maintenant évidente (!), certains RH tentent encore de disséquer l’indissociable : l’homme de ses émotions.

Mais puisque c’est impossible, pourquoi donc certaines entreprises attendent-elles encore cela de leurs salariés ?

Parce qu’elles ont des croyances.
Elles croient que les émotions sont néfastes aux contextes professionnels. Elles pensent peut-être aussi que c’est trop difficile à gérer, les émotions !

« Accueillir ses émotions, c’est se donner la permission de vivre. » me disait mon excellente formatrice de coaching holistique.

L’entreprise serait-elle devenue un lieu où l’humain ne vit plus ?

Pour rappel : 🙂

L’émotion (du latin motio « action de mouvoir, mouvement ») est une expérience psychophysiologique complexe de l’état d’esprit d’un individu lorsqu’il réagit aux influences biochimiques (interne) et environnementales (externe).

Chez les humains, l’émotion inclut fondamentalement « un comportement physiologique, des comportements expressifs et une conscience ». L’émotion est associée à l’humeur, au tempérament, à la personnalité et à la disposition et à la motivation.
Le mot « émotion » provient du mot français « émouvoir ». Il est basé sur le latin emovere, dont e- (variante de ex-) signifie « hors de » et movere signifie « mouvement ». Le terme lié « motivation » est également dérivé du mot movere.

– Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89motion

Fini les séances de réflexion !

Mettons en place au sein des entreprises des ateliers de solutions !

Bien sûr, il existe des outils (comme le world café ou le forum ouvert) qui sont de magnifiques outils de création où la solution émerge de la co-création.

Mais le simple fait de demander à chacun de venir avec une solution d’amélioration à chaque problématique évoquée, serait déjà un pas dans l’amélioration de nos organisations, en terme de processus bien sûr, mais surtout en terme de prise en compte des collaborateurs/trices.

Testez !

Mettons du « et » dans le « ou » !

Est ce notre société occidentale qui nous a amené, sournoisement, à tant de « séparatisme » ?
Est ce l’évolution humaine qui nous pousse à tant de choix, qui implique inexorablement le « ou » ?

Fromage ou dessert ?
Visuel ou auditif ?
Cortex droit ou gauche ?
J’aime ou j’aime pas !

Et si nous remettions du « et » dans le « ou »…

Oui, il est possible d’être pour ET contre, il est possible d’être courageux ET paresseux.

Dans un des mes derniers coachings, j’ai proposé à une directrice d’entreprise de remplacer le OU par un ET.
Dans un premier temps, l’exercice était d’abord intérieur dans un processus de changement de vision sur l’entreprise.
Puis parfois, ce nouvel angle de vue est exprimé et déclenche assurément une réaction chez les autres.

Un coaching sur le ET  ?